Un petit mot de bienvenue.

Ce site se veut une source de renseignements et de réconforts, d’outil à découvrir afin d’être capable de bien gérer son diabète de type 1 ou de type 2 et son nouveau mode de vie.

Si cela vous en dit de laisser un message positif ou bien que vous avez une interrogation sur votre situation ne vous gêner pas, j’aurai le grand plaisir de vous répondre et si vous le voulez, d’en faire profiter les autres personnes.

Utiliser seulement votre prénom ou un pseudonyme afin de vous identifier.

Merci et bonne lecture.

André Positif

Il est possible de bien gérer son diàbète.

Être positif? Dans ce 4e tome, j’ai voulu partager avec vous un moment très difficile dans votre vie : l’annonce d’une maladie évolutive qu’est le diabète, que l'on soit du type 1 ou du type 2.

Plusieurs personnes me demandaient comment je faisais pour garder le sourire et quelle était ma philosophie de la vie afin de bien gérer mon diabète.

J’ai donc décidé de partager avec vous mon mode de vie.

Comme vous l’avez constaté dans la table des matières, cela comporte plusieurs étapes; le contrôle de votre vie ou la maîtrise de ces étapes ne se fait pas en une journée, alors donnez-vous du temps pour apprivoiser votre nouveau mode de vie.

Au moment de l’annonce par mon médecin de famille que j’étais diabétique, je lui ai répondu ceci : « Mon ami Mario, je vais gérer mon diabète de la même manière que quand j’ai arrêté de consommer de la boisson il y a six ans : un jour à la fois, une étape à la fois. »

En terminant, je voudrais vous dire que le sentiment d’impuissance, de solitude et d’être dépourvu de moyens face à ce défi est normal, mais si nous avons la chance d’ avoir des outils à notre disposition, il sera plus facile de gérer et d’ accepter le défi que la vie met sur notre chemin.

Si vous avez des préoccupations ou des questions, il me fera très plaisir d' y répondre, ce blogue ce veut une aide pour vous qui avez de la difficulté à accepter votre nouvelle condition ( le diabète).

un bon livre

À l'annonce par le médecin que vous étiez devenue diabétique quel étais votre sentiment ?

lundi 19 novembre 2007

Le déni

La deuxième étape : le déni
«Ce n’est pas possible.»
«Ce n’est pas vrai.»
«Ils ont dû se tromper.» (1)(v.p47)

Le déni prolongé empêche de vivre son deuil. La personne endeuillée éprouve alors une sorte de dépression, un malaise à l’intérieur qui fait qu’elle refuse la vérité ou le fait accompli. La réaction de se protéger contre une telle nouvelle est normale. Par ailleurs, quand on laisse la douleur accéder à la conscience, on la ressent d’une manière vive, intense et claire mais, par bonheur, elle est passagère et de courte durée. (1)(v.p47)

Ceux qui ne veulent pas ou ne peuvent pas digérer la nouvelle bloquent en quelque sorte le mouvement de la vie. En s’obstinant à étouffer la souffrance ou la nouvelle, on se prive des solutions que la vie veut nous faire connaître et qui peuvent nous faire renaître. Par ailleurs, il faut savoir que c’est correct d’avoir de la peine, de souffrir et d’avoir besoin d’une main chaleureuse durant ce passage pénible. (1)(v.p.47)

Les formes de déni :

Le déni prend des formes nombreuses et subtiles :

· oublier de prendre ses médicaments;
· tricher dans ses habitudes alimentaires;
· s’acharner à trouver un coupable ou la raison pour laquelle cela arrive;
· abuser de médicaments, de l’alcool, de drogues, de nourriture, etc.

Dans tous les cas, vouloir se trouver une raison pour se justifier de ne pas admettre la réalité empêche de faire son deuil.

Un temps d’arrêt :


  • Y a t-il des moments où j’ai utilisé le déni
  • Qu’est-ce que ces moments avaient de particulier pour que je sente le besoin d’utiliser le déni ?
  • Quelles en ont été les conséquences négatives et positives ?

Ce qui pourrait nous contraindre au bien pourrait aussi nous contraindre au mal.

[Denis Diderot]


Celui qui disperse ses regards sur tout ne voit rien ou voit mal.

[Denis Diderot]

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